Ils sont 48 solitaires (33 en Imoca, 13 en Class40 et 2 en monocoque "Vintage") à s'élancer sur The Transat CIC. De Lorient à New York, retrouvez ici toutes les infos sur cette transat mythique.
🗺️ Le lien vers la cartographie de la course.
❔ Toutes les questions que vous vous posez sur The Transat CIC.
✖️ Les abandons. Imoca : Jean Le Cam (Tout Commence en Finistère - Armox Lux), Jérémie Beyou (Charal), Louis Duc (Fives Group - Lantana Environnement), Arnaud Boissières (La Mie Câline), Sébastien Marsset Foussier), Antoine Cornic (Human Immobilier). Class40 : Quentin Le Nabour (Bleu Blanc Planète Location); Goulven Marie (Qwanza); Axel Tréhin (Project Rescue Ocean); Aurélien Ducroz (Crosscall).
Dans quelques heures Clarisse arrivera à Horta pour son escale technique sur The Transat CIC ! le début d’une course contre la montre pour permettre à Clarisse de repartir le plus vite possible afin de franchir la ligne d’arrivée avant le 20 mai ! pic.twitter.com/L0QA1mgnXd
— L'Occitane Sailing Team (@LOccitaneSail) May 5, 2024
Après une escale technique à Concarneau à la suite de son avarie de safran, Anatole Facon (Good Morning Pouce) a repris la course en Class 40.
Amélie Grassi (La Boulangère Bio) a dû ralentir fortement son bateau cette nuit à cause d'une grand-voile déchirée un peu au-dessus du troisième ris. Malgré cette avarie, la navigatrice poursuit sa course. "La déchirure est grosse mais je pense que c’est possible de réparer", décrit celle qui a déjà identifié une zone durant laquelle elle pourra travailler sur sa grand-voile. Cela ne sera probablement pas possible avant 48 heures.
A plus de 300 milles de l'arrivée, les premiers Imoca ont entamé la bagarre des empannages le long de la zone de protection des cétacés. Yoann Richomme reste en tête mais l'Allemand Boris Herrmann ne lâche rien. Les premiers sont attendus lundi après-midi sur la ligne d’arrivée mouillée à 120 milles au large de New York.
Sur son compte Instagram, Giancarlo Pedote a annoncé avoir un problème technique et devoir rejoindre New York "à basse vitesse".
Les deux flottes sont désormais dans la seconde partie de la course. Les conditions se sont enfin calmées, et devant, Yoann Richomme se régale et a même pris de l’avance. Charlie Dalin a légèrement ralenti, il semble avoir des problèmes techniques. Paul Meilhat a lui heurté un ofni, il continue vers New York, mais au ralenti. En Class40, Ian Lipinski bataille avec Fabien Delahaye et Ambrogio Beccaria… Retrouvez le résumé de la journée en vidéo.
Jeudi, Benjamin Ferré avait fait part d'un souci technique et que la solution la plus sage était de rallier le port le plus proche : il se dirige vers les Açores. Ce vendredi, le skipper de Monnoyeur Duo For a Job annonce son abandon pour voie d'eau et avarie au niveau du système de quille. "J’ai crié, pleuré, hurlé… On dit toujours que la course au large, c’est un condensé de vie en accéléré. C’est vrai ! Maintenant, je me réveille avec cette grosse "gueule de bois" mais il y a dans mes voiles la trace d’histoires cabossées qui me font bien relativiser ma petite mésaventure ! Je suis tellement triste ! Triste d’abandonner car c’est ce que je déteste le plus au monde". Malgré cet abandon, Benjamin Ferré est désormais qualifié pour le Vendée Globe.
Ce vendredi matin, Paul Meilhat a informé son équipe et la direction de course d'une collision avec un Ofni (objet flottant non identifié), qui a endommagé le foil bâbord ainsi que le puit de foil de son Biotherm, créant une légère voie d'eau maîtrisable. Le skipper, alors troisième, va bien mais se voit contraint de ralentir. Il poursuit sa route vers New York.
Dans un vent de nord-est entre 17 et 20 nœuds moyens, les premiers Imoca ont mis le pied sur l'accélérateur : Yoann Richomme, qui a pris les commandes de la flotte, jeudi, était flashé, ce vendredi matin à plus de 23 nœuds ! Dans son sillage, Charlie Dalin, qui a fait une sortie de route jeudi matin et perdu quelques longueurs, s’accroche. "C’est très satisfaisant d’être en tête et à la fois ça me paraît lointain quand je vois le morceau qu'il nous reste jusqu'à la ligne d'arrivée. Il n’y a pas vraiment de schéma météo qui se dessine, je pense que ça va être compliqué. Et puis il y a l'habitude de ne pas crier victoire trop tôt, de ne pas s'emballer trop vite. On a pu le voir avec Charlie Dalin hier : en une bêtise on peut perdre 50 milles", explique Yoann Richomme. En Class40, lan Lipinski a réussi à prendre un peu d’air. Il devance, ce vendredi matin, Ambrogio Beccaria et Fabien Delahaye d’une vingtaine de milles. Ils sont dans des conditions un peu plus soutenues que les Imoca. Avec la fatigue, le pilotage dans ces conditions est toujours complexe.
Victime de la casse de son étai de J1, ce matin, le skipper avait déjà perdu son J2, il y a deux jours. Privé de deux de ses étais, le skipper du Class40 Crosscall s'est rendu à l'évidence : poursuivre face aux vents et courants dominants représente un risque de démâter. Il a officiellement signifié son abandon à la direction de course à 18 h 10 TU. Le skipper qui va bien physiquement a décidé de revenir à Lorient pour ne pas endommager encore plus son bateau.
Ce jeudi en fin de journée, nouvelle casse dans la flotte de The Transat CIC. C'est en Imoca que la nouvelle est tombée. Benjamin Ferré, qui a longtemps été le premier bateau à dérives droites, a contacté son équipe et la direction de course pour annoncer un souci technique. En lien avec l'équipe à terre, le skipper de Monnoyeur Duo for a Job a annoncé devoir gagner le port le plus proche. La situation est stabilisée mais il ne peut continuer sa route vers New York.
« C’est un peu la machine à laver là ! » \ud83d\ude43\ud83c\udf0a
— The Transat CIC (@The_Transat_CIC) May 2, 2024
La flotte de #TheTransatCIC est ballotée dans tous les sens par l’Atlantique Nord ! On vous a concocté un best of des derniers contenus reçus du bord ! Vous aimeriez être à leur place ? \u26f5\ufe0f\ud83d\udc47 pic.twitter.com/ZOqmrCcy3A
[\ud83d\udc69\ud83d\ude80 Jour 4 – Lorient \u27a1\ufe0f New York : VIDEO DU BORD]
— Paprec Arkéa Team (@TeamPaprecArkea) May 2, 2024
« C’est un peu la machine à laver, il y a encore beaucoup de mer : je vous montre ça tout de suite »
\ud83d\udd35@Paprec_Group
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Alors qu’il évoluait au plus près de la route orthodromique à 630 milles au large de la pointe Bretagne et occupait la neuvième place des Class40, Aurélien Ducroz a été victime de la casse de son étai de J1. Une avarie majeure maisle skipper et le bateau sont en sécurité. Les conditions de vent et de mer restent difficiles mais différentes options sont à l’étude par son équipe technique en collaboration avec la direction de course.