En l’espace de quelques mois, Éric Roy a durablement conquis le cœur des Brestois. Par ses résultats, bien sûr, mais aussi du fait d’un tempérament qui colle parfaitement à l’esprit du coin.
Depuis son arrivée, c’est un sans-faute, sur le terrain comme en dehors. Une impression encore renforcée suite à la rencontre organisée ce mercredi 27 mars 2024 entre des abonnés du Télégramme et l’entraîneur du Stade Brestois. Affable, courtois, proche du public et doté d’un solide sens de l’humour, Éric Roy coche toutes les cases du gendre idéal. Soucieux de « faire le job » en toutes circonstances car très attaché à « l’image » et aux « valeurs » que renvoient son club et son équipe, il n’en demeure pas moins une personnalité pudique, évoquant dès qu’il le peut la nécessité de « rester humble » et de savoir « rester à sa place ». Invité à réagir au fait que ce caractère colle plus, dans l’inconscient collectif, à celui d’un « gars du Nord », le natif de Nice confirme ne pas se sentir « du tout un mec du Sud dans le tempérament ». « J’aime ma ville, ma région et on est toujours un peu caricaturé d’où qu’on vienne, mais c’est vrai que le cliché du sudiste, exubérant, extravagant, ce n’est pas trop moi… », sourit-il.
Vous aimez la Bretagne ? Vous allez adorer l'application du Télégramme. Profitez d'une expérience de lecture personnalisée et d'un accès rapide à l'actualité de votre commune.
