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Seascape 24, la régate en famille au Grand Prix de l’École Navale
Ils vivent et travaillent en région parisienne toute l’année, ont des attaches bretonnes et adorent régater entre trois bouées. La famille Sonnois participe au Grand Prix de l’École Navale en First Seascape 24.
La famille Sonnois est engagée en Seascape 24. (Photo Philippe Eliès)
Au Grand Prix de l’École Navale, on croise des pros, des amateurs éclairés et des passionnés de la régate. La famille Sonnois est à ranger dans une autre catégorie, celle des passionnés qui régatent peu. « Trop peu » selon Ariane et André qui ont des attaches bretonnes du côté de Camaret et Brest.
Une seule régate dans la saison
Si le bateau, un Seascape 24, reste en Bretagne toute l’année avec son mouillage au Fret, l’équipage vit en région parisienne. « On travaille tous les deux dans l’informatique ». Dès qu’ils le peuvent, les Sonnois débarquent dans le Finistère pour naviguer sur le Seascape 24, bateau qui permet à ses propriétaires de se retrouver régulièrement lors des Raids organisés ici et là.
Avec leur fils Emilien, 14 ans, ils s’offrent une régate dans l’année, deux quand le calendrier le permet. « La seule régate de la saison, c’est le Grand Prix de l’École Navale. Parfois, on dispute aussi le Spi en baie de Quiberon. C’est toujours un grand plaisir de naviguer en famille et en régate mais, sincèrement, on n’en fait pas assez pour être compétitif », dit Ariane. Emilien, lui, s’éclate avec ses parents sur ce plan Manuard de 7,30 mètres qu’il trouve « fun, capable de beaux surfs ».
Le Seascape est un plan Manuard de 7,30 mètres. (Photo Philippe Eliès)
L’aide de Victoire
Cette année, la famille Sonnois a embarqué une équipière, Victoire Massip, élève officier en 1re année à l’École Navale. « Je connais bien le plan d’eau de Lanvéoc-Poulmic avec les courants et les effets de site. Eux connaissent bien le bateau ».
Manifestement, l’équipage doit peaufiner les réglages puisqu’à l’issue des cinq manches, il pointe en 7e et dernière position.
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